dimanche 20 décembre 2009

Eins zwei drei Arbeiten !!!



Après une nuit à French bay tel un manouche comme d'habitude , non loin de Auckland, je pris la direction de Glen Innes pour allez à ce fameux entretien. Sans conviction habillé comme un clodo et pas rasé, j'arrive au bureau de Tamaki control à 14h30 (dans le mail le patron disait que c'était porte ouverte à partir de 14h), et je vis que plusieurs personnes sapées la classe écoutaient attentivement le speech du Boss Derek. Après une bonne demi-heure à écouter
ses conneries, il proposa à tous le monde de discuter un moment avec les employés afin que l'on puisse sonder un peu si son speech était correct. Bref Ayant échangé plusieurs mails avec Derek je décidais d'aller le voir directement, puis l'on discuta pendant un bon moment, de boulot, des branches en Angleterre et aux States ( New Mexico ) de Nîmes ( alors que je ne suis jamais allez là-bas ). Bref puis il m'expliqua qu'il recherchait quelqu'un pouvant travailler en Europe, et
encore une fois la question??? Donc après une bonne peut-être à long terme en France. Il me parla du projet futur en Irlande de deux centrales hydroélectriques (Lemerick et Erne). Puis d'un coup me proposa de vive voix de travailler pour eux à partir de Janvier. Hein quoi ? Vous pouvez répéter la question ? Vous pouvez répéterdemi-heure à discuter avec les employés on s'est serré la pogne, et je commencerai donc le 11 Janvier 2010.En sortant du bureau j'étais vraiment content, et je me suis dit que tous mes efforts pour trouver un boulot ont enfin été récompensés.
Je pris la direction de Thames comme prévu auparavant pour rallier Wellington le 30 décembre (une phrase sans fautes ! ! !)
mainte Arrivée tardive au camping dans la vallée de Kaueranga. Passer une nuit avec surement plus de 60 moustiques dans la bagnole c'est pas génial !!! Après avoir tout essayé, entre mettre de la lumière dehors allumer des bougies, brûler des papiers pour faire sortir les moustiques, c'est finalement la housse de couette en guise de moustiquaire qui m'a permis de passer une nuit sans trop de piqures( bien que mes pieds ressemblent maintenant à un champ de mines).Le réveil sonne, enfin je sonne le réveil car la nuit à vraiment été très courte, une moustiquaire à même le corps n'est pas vraiment très utile. Puis je prends la direction du Pinacles à 5h30 du matin où les oiseaux sont déjà réveillés. Après avoir franchi de nombreux ponts suspendus, et avoir gravis et maintes marches ( creusées dans la roche par le DOC ) j'atteinds le refuge du pinacle qui il faut le dire est vraiment de grande classe. Encore 50 minutes pour rallier le sommet du pinacle.
peine neuf heure Une suite de marches interminables et de nombreuse échelles et échelons permettent l'accès au sommet. De chaque coté on peut voir l'océan, puis plusieurs iles au large. Le vent souffle relativement fort, et le temps change. Je décide de reprendre la route du retour, bien qu'il soit às. Arrivé vers midi au parking, je passe le reste de l'après midi, en compagnie de musique, d'une allemande sympa, de perroquets Australiens et de lièvres errants dans le camp ground.Photo ICI
le lendemain une belle plage au Direction Tauranga en fin d'après midi. Arrivée tardive, repas sur le gaz(burger king !!! wouhaou) et puis j'ai trouvé un wifi gratuit dans Grey Street, qui m'a permis de consulter mes mails, et de changer mon billet pour le ferry (22 décembre). En effet vu que je commencerai le boulot le 11 janvier autant aller plutôt dans le sud et de profiter de la semaine de noël avec les collègues français. Je trouve enfin un endroit pour dormir au bout de la péninsule de tauranga, oùx multiples terrains de beach volley m'attendent. Après avoir piqué une tête dans l'océan et avoir pris une bonne douche publique je pris la route de Rotorua
Photo ICI
Arrivé dans la ville juste le temps de laver quelques chiffons, direction un premier site volcanique encore en activité. Le chemin est sympa, quelques jolies vues, étant arrivé tard ma visite fut rapide, mais très intéressante.
Photo ICI
Avant de repartir cherchant un endroit pour dormir, j'ai rencontré Stephan et Sandra, deux allemands en voyage ici pour un mois fort sympathique. Ils avaient les mêmes plans que moi et donc nous nous rendons vers le même camping, à proximité de sources chaudes. A la surprise générale, ce camping possède des douches, toilettes cuisines, et une source permanente d'eau chaude provenant tout droit des entrailles profondes de cette zone volcanique. Un régal, plusieurs bassins allant de 35 a 42 degrés. Rien de tel pour se relaxer. Le lendemain se réveillant comme une pâte trop cuite, nous prenons la direction de Wai O Tapu (eaux sacrées en Maori).
pour aller sur un autre site en activité. Celui ci est beaucoup plus diversifié et coloré que celui de Waimangu. Les cratères s'enchainent, les geysers et autres sources d'eaux chaudes révèlent des couleurs allant du blanc de silice, des jaunes de souffre, orange d'antimoine, rouge d'oxyde de fer, vert d'arsenic, violet de manganèse au noir de carbone. Les odeurs sont omniprésentes, et parfois si l'on s'approche de trop près on peu même avoir du mal à respirer(Piscine de champagne grand cratère profond de 62 mètre au contour d'oxyde de fer)
Photo ICI.
Direction Taupo, où enfin après avoir vu de nombreux paysages côtiers, la neige fait sont apparition.
Photo ICI
Puis le fameux parc du Tongariro, où le décor devient lunaire. Un bon repas digne du randonneur ( Baked Bean et steak australien) une bonne nuit de sommeil
pour l'ascension du South Crater et du Mount Tongariro tant qu' et c'est parti pour plus de 28 km de randonnées ( la rando initiale est de 19,4 km, mais j'ai optéà faire)
l'ancien cratère, puis je gravi vu de nez ) on peut voir plusieurs couche pa A 6h du mat, pas un chat, puis je rattrape un gars, puis deux New Zélandaises. Bref après une bonne heure de marche commence l'ascension du South cratère culminant à 2200 m et des poussières. Enfin et des gravas, car l'ascension raide au possible se fait dans environ 20 cm d'épaisseur de petites pierres volcaniques. Le parcours est vraiment dur, c'est en gros 5 pas en avant et deux pas en arrière. Après une bonne heure de grimpette, je récupère le balisage (poteau en bois ) et la fin du parcours devient plus facile avec des roches plus solides. J'atteindss les quelques derniers 50 mètres pour atteindre le sommet et dominer l'ensemble du cratère. Profond de plusieurs Dizaines de mètres,( j'dirai même 150m às de roche avec des couleurs différentes. La dernière éruption en date est de 1875 mais quelques cheminées laissent échapper encore des gazs laissant penser que ça bouillonne encore là-dessous. Après avoir fait le tour du cratère et avoir de magnifiques vues sur le Mount Ruapehu ( celui enneigé ) et le reste du parcours du Tongariro alpine Crossing, je commence à redescendre( le vent au sommet était glacial à 9h30 encore plus ) Et à ma grande joie la descente se fait avec aisance et facilité. A l'aide de mes bâtons , je dévale la pente de gravats à une vitesse fulgurante, comme dévalant un champ de poudreuse. Wouhaou quel pied en plus la vue mérite d'être allé jusqu'à là-haut. Le chemin est maintenant parcourur plusieurs dizaines, centaines et peut-être milliers de personnes ( jusqu'à 15000 par jour durant la haute saison ) Le reste du parcours va de merveilles en merveilles. Le sommet du Mount Tongariro avec son paysage lunaire, le Red Cratère avec son ouverture à flanc de montagne, au dégradé de noir au rouge en passant par le vert, l'émeraude lake avec ses
deux sœurs, et quand enfin le dernier dénivelé se fait, une vue d'ensemble sur le Mount Ngauruhoe (south crater) le red cratère et l'Emeraude lake vous laisse bouche bée et l'envie de rester contempler cette vue prend une grandeur temporelle non mesurable. La fin du parcours se termine par une vue du lake Taupo.Photo ICI
Allemande Aujourd'hui j'ai pris la route de New plymouth avec toujours Stephan Et Sandra et deux autress qui on rencontré Stephan et Sandra durant le Tongariro Crossing.
Le journée est très détendue ( surement due à la fatigue de la veille) ET nous terminons la route sous la pluie comme le reste de la journée à Opunake sur la surf road, dans un camping où j'ai pu avoir du wifi et écrire ces quelques lignes(pavé ouai).
Il est 1h52 du matin et je vais aller m'endormir avec le bruit de l'océan venant taper à la porte du camping.

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